pour ne pas les oublier
pour ne pas les oublier
Pour ne pas oublier le sort que subissent des milliers de podencos, de galgos et autres petits croisés, et parce que beaucoup encore ne savent pas ce que c'est que de naître chien en espagne, je tiens à rafraichir vos mémoires et à vous exposer les faits.
Chaque année en Espagne, plus de 8000 à 10 000 lévriers
(galgos, podencos) sont torturés puis massacrés par des galgueros ( chasseurs de lièvres
).
Ce chien est surtout utilisé à la chasse au lièvre qui ne dure que quelques
semaines pendant l’année ainsi qu’à des courses de lévriers ( le plus souvent
non homologuées ).
Plus de 50 000 sont abandonnés dans les campagnes et les centres villes (
mourant de faim ). La fourrière ne pouvant pas tous les attraper , beaucoup
finissent sous les véhicules. D’autres, après avoir été maltraité durant leur
courte vie et une fois la saison de chasse terminée, ils finiront massacrés
par leurs maîtres dans une extrême cruauté.
~~ Pendus dans les bois ( bois réputés en Espagne pour leurs cadavres de chiens
). Les meilleurs lévriers sont pendus haut et court afin de les faire mourir
vite alors que les moins performant sont pendus les pieds touchant le sol,
obligeant ainsi l’animal à sautiller sur place avant de se laisser pendre
d’épuisement ( Punition ajoutée à son exécution ).
~~ Aspergés d’essence pour être brûlés vifs
~~ Jetés ( souvent à plusieurs ) au fond d’un puits asséché
~~ Attachés à l’arrière d’un véhicule puis traînés sur plusieurs kilomètres
jusqu’à ce qu’il ne reste plus grand chose au bout de la corde
~~ Abandonnés au milieu des bois avec les 2 pattes avant brisées où sectionnées. ( 1 seule patte permettrait encore à ce chien très fidèle de suivre son
bourreau )
~~ Poignardés où égorgés puis jetés agonisant dans des fossés où des décharges
~~ Attachés solidement dans des lieux complètement isolés et à l’abri des
regards ( terrains vague , vieux bâtiments, dans les bois ), certains sont
abattus d’un coup de fusil et d’autres sont tout simplement livrés à une mort
très lente en étant abandonnés ainsi.
Mort qui les délivrera de leur triste sort plusieurs jours après qu’ils aient
agonisé de faim et de soif
Il n’est pas rare de retrouver les restes de ces chiens dans ces divers lieux
Les rares chanceux à être découvert en vie par de bonnes âmes sont retrouvés
sanguinolent et traumatisés
Le coup profondément scier par le fil de fer où la corde qui les maintenait
prisonnier.
Blessures provoquées par leurs maintes tentatives désespérées pour se libérer
de ce lien mortel qu’ils ont fini par comprendre ainsi que par leur instinct de
survie.
C’est ainsi que, par an, plus de 8000 lévriers, podencos et, chiens croisés, se
font massacrer en Espagne dans l’indifférence de son gouvernement et de sa
population
Les trafics de lévriers ” galgos ”
destinés aux courses et à la chasse entretiennent continuellement ces pratiques.
Des femelles “ galgas ” sont isolées à plein temps dans des sous sols où leur
unique fonction est de donner naissance à de futurs martyrs . Autant
maltraitées et exploitées que les mâles , elles n’échappent pas à une mort
horrible une fois que la nouvelle génération de femelles les remplace .
Les petits, passer de 2 ans et après avoir rendus de loyaux services à ces
hommes sous les coups et la peur, connaissent à leur tour les mêmes fins épouvantables
que leurs aînés .
Les lévriers et podencos errants qui sont mis en refuge sont rapidement
euthanasiés ( 2 semaines après leur arrivée )
Comme en Espagne personne n’en veut , ils ne sont pas proposés à l’adoption .
Écartés des visiteurs et des éventuels adoptants, ils sont placés dans des
enclos déjà bondés où ils subissent les attaques des chiens dominant. Le
lévrier, tout comme le podenco, est un chien timide et craintif qui ne sait pas
se défendre.
Mis en extérieur sous des températures hivernale ; souvent blessés et sans
soins, assoiffés et affamés, ils attendent ainsi leur mort dans la peur et la
crasse de leurs enclos.
La majorité se fait gazer. Beaucoup agonisent dans d’horribles souffrances “
plus de 20 min ” avant de succomber.
Cela vous rappelle-t’il une autre histoire ?
Le gouvernement espagnol ainsi que la population locale fait preuve d’une
incroyable incompétence et d’insensibilité pour faire cesser ces barbaries.
Aucune mesure n’est prise pour punir et empêcher ces actes de se poursuivre.
Ce pays qui prône déjà la souffrance d’un taureau au rang de tradition n’as pas
plus de compassion pour un chien où un chat.
En Espagne un chien peut être torturé, pendu, brûlé vif, traîné derrière une
voiture etc…. sans que ces fous ne soient jamais condamnés ni même inquiétés
par la justice.
L’animal est considéré là-bas comme un bien meuble pouvant être détruit par son
maître .
Tuer un animal de tel ou tel manière ferait partie de leur codes d’honneurs.
Ces chiens, durant toute leur vie, sont torturés, battus où massacrés devant
les plus jeunes qui n’y voient plus rien de choquant une fois devenus adulte.
Ces comportements nourrissent ainsi un laxisme générationnel
Se promener en Espagne avec un lévrier tenu en laisse , serait honteux et mal
vu par beaucoup d’espagnols . Certains n’hésiteront pas à le faire savoir.
Ce chien est tout simplement utilisé avant d’être rejeté comme la peste.
10% seulement des Galgos et Podencos sont secourus par les rares associations
espagnole qui s’en préoccupent. Les animaux sauvés sont placés dans des
refuges européens en vue d’une hypothétique adoption où famille d’accueil.
Il faut continuer de faire pression sur les mentalités espagnole ainsi que sur
leur gouvernement pour que cessent ces actes inhumains et que des mesures
draconiennes soient prisent à l’encontre des barbares
L’ Espagne est un pays européen qui ne respecte absolument pas le droit des
animaux .
Si les chasseurs espagnols infligent de tels supplices à leurs chiens , il faut
dans ce cas, faire
interdire la chasse avec des lévriers. Cela aura pour effet de faire cesser
ces trafics multiples de lévriers qui conduisent à ce genre d’abus.
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La Déclaration Universelle des Droits de l’animal a été proclamée le 15 octobre
1978 à la Maison de l’UNESCO à Paris .